Création d'histoire en groupe :D

Bonjour tout le monde, je vous propose sur ce sujet de pouvoir tous ensemble creer des histoires. Je m'explique: je posterai pour la première histoire le début, et ensuite, je m'arreterai, et si vous avez de l'inspiration, vous mettrez une suite, et ainsi, avec l'aide de beaucoup d'entre vous (et pourquoi pas tous?), on constitura une véritable histoire ^^.
Bon, alors je me lance.

C'était une journée éprouvante pour notre héros, pourtant, il rentrait guilleret de son travail, comme si de rien n'était. Tandis qu'il passait le croisement d'où il pouvait encore voir la tour de son travail, il tourna à droite, une rue fleurie grande comme une avenue, mais déserte comme une rue d'un village fantôme, il se retourna machinalement, comme si quelqu'un venait de l'appeler. Il s'arreta à cet instant net, et attendit.
Plusieurs minutes passèrent, et l'homme contournait les rues, prit les racourcis, évita les avenues mal réputées, et arriva enfin chez lui. Maintenant il se trouva face à sa porte en bois vernis très clair et l'ouvrit...

Le croque -mort venait réclamer son dû.
En effet , la chère épouse de notre héros avait trépassé le mois précédant.
Non seulement il était fou de chagrin , mais il n'avait pas les moyens de payer le croque-mort.
Pour consoler ses enfants , pauvres orphelins maintenant , il dépensait des sommes folles pour leur faire plaisir.
Il expliqua la chose au croque-mort.
Celui ci demanda un temps de réflexion pour décider comment notre héros pourrait le dédommager.

Le vieux sbire tourna autour de la table en bois rayée et donc autour de notre cher héros. Il inspecta dans les moindre détails la petite cuisine abîmée surtout par son grand âge. Il dévisagea encore une fois l'homme qui se dandinait d'un pied à l'autre. Il s'avance et s'assit sur la chaise du même bois que la table et partit de nouveau dans ses pensées et s'y perdit...

Après un moment qui sembla durer une éternité à notre héros , le croque-mort lui fit la proposition suivante :
-" Puisque vous ne pouvez pas me payer , vous allez venir m'aider dans mon travail ! Je dois déplacer les tombes du vieux cimetière , car il est inondé régulièrement depuis quelques années et les familles des défunts se plaignent."

-"Mais , répondit notre héros , je travaille déjà très dur ! quand aurais-je le temps de vous aider ?"

-"Je ferai mon travail habituel de croque-mort durant la journée et vous m'aiderez à déplacer les vieilles tombes durant les nuits. Cela évitera aussi que les familles des défunts viennent nous importuner"

Malgré sa mauvaise volonté, l'homme se sentit obligé de céder, puis, le croque-mort partit enfin de sa petite maison.
Le lendemain, il ne parla de rienà ses enfants, même s'il mourrait d'envie de leur en parler. Il ne savait que faire, il y avait plusieurs idées qui lui venaient à l'esprit: partir le plus loin possible, ou encore rester et travailler comme une sorte de nouvel esclave.
Durant son travail, il ne pensa qu'a cela, lorsqu'il devait reflechir pour comment ne pas mettre en danger sa société, lorsqu'il déjeunait.
Le soirée dut vite arrivée et un noeud se serrait autour de son ventre au cours du temps. Il resta encore quelques heures de plus à son travail, ne se préoccupant plus de ses enfants. Il opina ensuite de sortir et vit au rez-de-chaussée son pire et nouvel enemi: le croque-mort...

Il avait apporté des outils pour notre héros et le pressait de venir travailler.
Notre héros eut alors une idée :
-"Qui va garder mes enfants ? Je ne peux pas les laisser seuls toute la nuit !"
Mais le croque-mort avait tout prévu , sa femme sortit alors de l'ombre et s'avança vers la maison.

On n'aurait pu imaginer un couple aussi mal assorti : autant le croque-mort était lugubre , autant sa femme était l'incarnation de la joie de vivre.
Il émanait d'elle une sorte d'aura qui redonnait le sourire à tous ceux qui l'approchaient.

L'homme ne put sortir aucun son de son bouche encore stupéfaite.
-Ouah! Comment...?
-Oui, je suis un peu gêné, notre couple n'est pas équivalant... si vous voulez, je vous expliquerai ca plus tard, pour l'instant... AU BOULOT!!!
Le travailleur commença son horrible travail, ne pensa à rien de plus que ce qu'il avait mériter pour avoir ca comme métier le soir. Surtout le soir.
Même s'il commencait, déjà, il ne se sentait pas à l'aise. Pendant ce temps, le croque mort n'était plus visible dans cette horrible pénombre. Il eut un frisson, ce qui le figea. Il en eut un nouveau au niveau de la tombe numéro 5, puis la 16eme et encore une autre. Alors qu'il s'avisa de se retourner, il vit derrière lui 3 horribles vampires courant sur lui avec souplesse...

Croyant sa dernière heure venue , l'homme se mit à prier.
Il pensa à sa femme , qu'il allait rejoindre dans la tombe , puis à ses enfants.
Ce qui le fit réagir : il ne pouvait pas les laisser seuls en ce bas monde !

Il attrapa la première chose qui lui tomba sous la main , coup de chance : un crucifix !

Il parvint à tenir les vampires à distance tandis qu'il essayait de rejoindre le croque-mort.

Il regarda autour de lui. Il était prit au piège: maintenant, les monstres l'encerclaient et l'étau dans lequel il se trouvait se retrouvait se resserait très très vite! Son coeur battait à un rythme annormal si bien qu'il crut a plusieurs reprises tomber.
Un monstre braya un patois que seuls ces horribles personnes comprenaient. En coeur, ils émirent un rire à glacer le sang. L'un d'eu le plus courageux, sans doute, prit sa main encore habile et la dirigea en direction du pauvre homme. Il le frola et le toucha de nouveau, mais reussi cette fois-ci.
Le dernier homme sentit une sorte d'electro-choc en lui, une forte decharge electrique paralysant tout son corps. Il se transformait!
Bientot, il deviendrait un monstre et aurait une place dans le tableau qui se formait à sa gauche avec un décor lunaire, serait-il un nouvel ET? Alors que ses mains perdirent un doight, sa tête grossit et s'allongea, sa couleur de peau devint verte, il se sentit tiré vers la droite.

Tout à coup, l'homme se réveilla au côté de sa femme, embelli dans son sublime rêve. Cet a cet instant que l'homme comprit qu'il ne s'agissait que d'un rêve. Mais, il entendit frapper à sa porte.
-Bonjour, je suis croque-mort, je viens vous proposer un travail!
L'homme hurla de toutes ses forces

...Une magnifique ourse qui le regardait avec respect.Il oublia la raison de sa venue et se faisait un woonwalk jusque la belle.Il se sentit rempli d'une chaleur qu'il trouvait réconfortante.
Il n'avait pourtant pas remarqué le pistolet à petit pois qu'elle tenait fermement dans ses pattes!
Il arrivait devant elle, avec des yeux doux comme la barbe à papa.La fille brandit son arme et visa sa bouche (les ours ne mangeant pas de petits pois)!

Elle appuya sur la détente, lorsque, tout à coup...

-" j'ai un passeport spécial , je suis réfugiée politique ! Dans mon pays , les fraises trop petites pour être mangées sont pressées pour faire du sirop ! Alors je me suis enfuie"
L'ours était désolée pour la pauvre fraise , en effet , il était très mal vu dans le pays des bonbons d'être trop petit pour être mangé.
C'était la honte suprême , la déchéance pour toute la famille !

Il décida donc ....

... D'aller punir les presseurs de fraises tagada.


La traque a commencé. L'ours et l'ours sauveur de cet ours se tenaient devant les portes du royaume tagada.
"Ça va être difficile, dit notre sauveur, est-tu prêt?
-Assez pour vous suivre, répondit notre sauvé."
Ils entraient, lorsqu'une bande de poichiches se rua sur eux.
Alors...

...D'appeler les renforts.
Il sortit son téléphone en chocolat sans se rendre compte qu'il venait d'appeler sa petite amie!
Le garde se fit plaquer, il se tapa la honte de sa vie et rentra chez lui en pleurant: le danger est écarté. Maintenant il restait à chercher une vraie fraise au royaume des bonbons(ce qui n'était pas extrêmement facile). Le royaume fruité est a des années lumières de ce royaume-ci!
Comment y aller le plus vite possible? Il y avait bien l'ascenseur de royaume mais pour y accéder , il fallait...

L'homme se leva persuadé que son idée serait fantastique. Or, il alla vers la porte en caramel dur ne fondant jamais et frappa sur la porte. Il se fit horriblement mal à la main et retentta sa chance avec l'autre main ne voyant la sonnette en nounours bleu.
Après avoir les mains pleines de bleus, il décida de chercher un autre plan. Mais lequel? Nul ne le savait. C'est alors qu'il vit la petite fille de Mamie Gateau (elle seule qui détenait le secret qu'il voulait) partir avec un panier dans la main. Son intention fut pour autre chose au lieu de femer la porte. Chocobullita choisi à cet instant de partir dans la maison, c'était à prendre ou à laisser!
Il entra à pas de loup à l'intérieur et vit Mamie Gateau préparer la pate pour une nouvelle création surement. En tout cas, l'homme fut attiré par l'odeur si agréble. Reprenant ses esprits il entendit la brave femme fredonner une musique connue de tous dans cette contrée : Mémé Route 66! Elle chantait drolement bien! Il prit un couloir sombre où la vieille femme ne pourrait pas passer à cause de son embonpoint.
C'est alors qu'il entendit des pas souples s'approchés de lui...